Nos 5 conseils pour bien choisir
Penser à la presbytie
43 ans, c’est l’âge couperet pour la presbytie. Avant, pour ceux qui n’ont pas besoin de lunettes pour d’autres besoins, on sait à peine que les ophtalmos et les opticiens existent. Après, on prend du temps pour dénicher la paire de monture la plus harmonieuse. Ce critère est à prendre en compte dans votre budget santé et dans le choix de la mutuelle de votre foyer car les montants remboursés par la Sécurité sociale sont loin des réalités tarifaires appliquées par les distributeurs.
Hospitalisation
Là encore, on ne pense pas aux séjours à l’hôpital tant qu’on peut y échapper… Mais, passé le cap des 40 ans, le risque de survenance d’examens, d’hospitalisation de courte durée ou de pépins de santé plus importants augmente. Là encore, mieux vaut être attentif au niveau de couverture de sa complémentaire santé si l’on se fait hospitaliser en établissement privé, si les praticiens appliquent des dépassements d’honoraires ou si l’on souhaite davantage de confort (chambre particulière, télévision…).
Cures thermales
En lien ou non avec le point n°2, c’est souvent à partir de 50 ans que l’on est incité à fréquenter les stations thermales plus en tant que curiste que joueur de casino… Là encore, et considérant que la nomenclature des soins prodigués dans les établissements thermaux est complexe, veillez à ce que votre contrat limite les montants restant à votre charge. Sinon, il ne vous restera plus qu’à jouer pour vous « refaire »… En savoir plus sur le remboursement des cures thermales.
Frais dentaires
Si vous avez des enfants et des ados encore à la maison, il vous faudra surveiller le poste dentaire et notamment les coûts lié à un traitement d’orthodontie. Phénomène qui tend à s’amplifier, les parents également peuvent suivre une prescription en orthodontie. Et, pour les plus de 16 ans, la Sécu ne rembourse pas un centime. Vérifiez que votre assurance santé rembourse ce type de prestations, ce qui est rare.
Médecines douces
C’est à l’âge de raison que l’on commence sérieusement à s’intéresser aux médecines alternatives ou, tout du moins, aux disciplines moins conventionnelles encore ignorées par la Sécurité sociale. De plus en plus de mutuelles intègrent la prise en charge des médecines douces dans leur contrat ou en option de renfort. Si vous fréquentez des ostéopathes, acupuncteurs, étiopathes, chiropracteurs… prenez le temps de vois si ce type de dépenses est remboursée partiellement ou totalement. Ou si vous en serez de votre poche. En savoir plus sur le remboursement des médecines douces.